A la quête de soi-même Chapitre 3 : Connaissances et Violence

Le lendemain, après de longues heures de repos et de conversations, après avoir préparé ses affaires et sa morale afin de parvenir à sa si intéressante quête en duo, Akoy se re tourna vers Florita, qui elle, se préparait aussi. Elle était en train de chercher dans une grande malle d'arme qui appartenait sûrement à sa famille une arme lui convenant.
-Tu sais donc te battre ? La questionna Akoy tout en s'approchant d'elle
-En effet, j'ai quelques bases au niveau du maniement de katana et d'armes blanches rétorqua Florita naturellement, je cherche actuellement celle qui me conviendrai...
-Très bien je te laisse faire. Dit-elle étonnée, je vais t'attendre dehors alors ne tarde pas trop.
Lorsqu'elle sortit de la maison au seuil de la porte, elle sentit l'infinie beautée du ciel et du soleil en une magnifique harmonie l'accueuillant symboliquement en duo. Mais elle pû aussi voir les gens morts à terre, qu'lle ne pouvait plus du tout sauver. Lorsque l'adolescente sortit de la maison, elle était vêtu d'un très beau pantalon féminin moulant, ainsi que d'une chemis à fleur et un sabre sur la gauche en hommage à une certaine mode japonnaise qui aurait bien pu exister dans un autre monde.... Tout en l'admirant, Akoy lanca :
-Où est passé ta famille ?
-Ma famille ? Questionna-t-telle curieusement, eh bien je ne l'ai jamais connue j'ai seulement été hébergée par un petit orphelinat de Aldar où je n'aimais pas du tout les nourisses. Ca me fait bien de la peine si elles ont péri hier soir, mais pas assez pour les pleurer pendant ma quête avec toi.
-Je vois, tu as l'air si forte Florita, marmonna-t-elle timidement, j'espère que tu pourras te confier à moi dans le soucis.
-Ne t'en fait pas Akoy, j'y penserais merci beaucoup, dit elle en baillant et en s'étirant sûrement pour montrer sa fatigue. Akoy lanca fort :
Nous y allons sur ces mots ! Dit-moi donc, toi qui connaît mieux que moi ses alentours, par où devrions nous passer pour atteindre la plus grande et proche ville ?
-Par la fôret du nord je suppose, en plus elle est habitée par des animaux sauvages ca nous permettra de nous entraîner ! Cria-t-elle brandissant son sabre.
Les deux camarades se lancèrent à l'aventure en quête d'une chose dont une seule était au courant. Florita pensait en marchant dans l'herbe verte claire et tondue de cette grande plaine pure et déserte, qu'elle aurait aimé plus en savoir sur sa sauveuse et sa cammarade. Elle lança donc :
-Dit moi, parle de toi.
-De moi ? Sétonna-t-elle, pourquoi est-ce que ca t'intéresse tant ? Il n'y a pas grand chose à savoir tu sais.
-J'aimerais quand même connaître ton histoire mais surtout savoir pourquoi tu voyages, demanda-t-elle avec tant d'attention.
Elle lui raconta son histoire en entier du jour de sa naissance au jour où elles se rencontrèrent toutes les deux, en passant par ce jour si crucial de ses onzes ans.
-Oooh, c'est tellement mysterieux et intéressant ! S'écria-t-elle.
Elles arrivaient toutes les deux au bout de la jolie plaine verte pour atteindre la sombre fôret noire hantée d'animaux sauvages. Akoy lança en regardant un phacochère leur fonçant dessus :
Regarde bien comment on abat une cible proprement, ca pourrais bien t'être utile.
Elle attendit que le grand et vieux facochère gris taché de noir les ai remarquées avant de sortir son arc ainsi qu'une flèche. Elle le brandit, le banda, le tira, le tenda, jusqu'à atteindre la vibration et le son si doux et faible d'un court craquement de sa corde indiquant la limite de détente et lacha l'éxtremité de sa flèche. La flèche vola, glissa sur le vent tel un pétale rose de cérisier tombant au printemps, avant de dévier sur la gauche par un coup de vent pour s'éclipser sur un rocher. A cette vue, Florita sortit son fin sabre de son fourreau et courra jusqu'en face de l'animal pour sauter par dessus son dos en amassant par son passage, un grnad coup tranchant d'arme, suffisant pour le tuer. L'adolescente, retomba glorieusement sur ses pieds, rangea son sabre gracieusement dans son fourreau et lança un regard désolé et à la fois heureux à Akoy.
-Désolée pour toi, mais pour moi, ce fut amusant et entraînant ! Lui dit-elle avec ce regard.
Akoy n'avait pas l'air aussi désolée que la fillette mais autant heureuse. Elle dit donc :
-Je suis vraiment impréssionée petite, Tu me seras un équiper et un compagnon très utile en dépit de tes apparences !
-Comment ca en dépit de mes apparences ? S'écria-t-elle en virant au rouge, j'éspère que je n'ai pas une apparence de fille au foyer n'étant bonne qu'a faire les corvées !
-Ne t'énerve pas, ce n'est absolument pas ce que j'ai voulue dire... S'expliqua-t-elle en en pensant l'opposé. Sur cette querelle, les filles reprirent leur aventure périlleuse. La fôret où elles étaient rentrées était énormément sinistre, sombre, humide et dépravée. En tout cas bien assez pour faire trembler de peur Florita qui avait un regard effrayée.
-Quelle est donc ce regard, Fillette ? Et ces tremblements ? Questionna Akoy.
-Je n'ai pas l'habitude d'être dans des fôret si sinistres, comprends-tu ? La regarda Florita.
-Je comprend absolument mais tu sais moi non plus, expliqua l'adulte, et je ne trépigne pas de peur comme toi !
Florita la regardant méprisante cria :
-On est pas toutes des chasseuses, nous les femmes, on est habituées à l'odeur de poussière et de solitude à la maison, dit-elle si énervée.
Akoy la regarda bizzarement.
-Ne criais tu pas tout haut tout à l'heure que ce nétait pas cette image la que donnaient les femmes à la société actuelle ? Questionna-t-elle rusée.
-Si, mais je reviens souvent sur ce que je dis, marmonna Florita, tu apprendras bien à me connaître au fil du temps.
-J'ai bien l'impression que nous avons des caractères absolument opposés, dit la femme, mais malgré cela nous nous entendons si bien ! C'est sûrement dû au fait que je t'ai sauvée la vie.
-C'est seulement que tu es très attachante Akoy ! S'exclama l'adolescante en souriant.
Ayant fini de se taquiner, les deux continuèrent de s'enfoncer comme depuis quarantes minutes au fond de cette forêt sombre sans en voir le bout. Au lieu d'en voir le bout,une atmosphère sombre et glauque s'installa dans le lieu et elles virent l'homme capuché qui avait attaqué Aldar, celui gravé du numéro treize. A cette vue, Florita laissa couler de légères larmes en se rappelant le massacre que lui même avait causé à sa ville.
-Eh, vous, cria-t-elle en sérant son sabre tè fort dans sa main droite prête à dégainer, êtes-vous bien le responsable du massacre de ma ville ?
Le grand homme la regardant avec des yeux insouciants lui répondit :
-Oui jolie jeune fille c'est bien moi et j'en prends l'entière résponsabilité.
A ce son, Florita n'hésita pas une seconde, elle sortit son sabre de son fourreau puis fonça sur le salle homme. Pendant sa course de quelques mètres, elle versait des larmes de tristesse et de nostalgie derrière elle comme pour montrer son chemin à Akoy. Arrivée à procimité de ce mâle gravé du treize elle laissa tomber un coup furtif sur lui et lui arracha un doight très violament. Le sang de haine expulsé par le membre arraché deu psychopathe se déposa très vite sur le visage ennivré de sentiments négatifs et tristes de la jeune fille paraissant sauvage. Lui, était envahi de sentiments violents mais semblait se retenir. Il attendit que la fillette l'ait regardé assez longtemp afin de prouver son courage, pour crier à la souffrance causée par une guerrière sans égal se tenant devant elle. Ainsi, Akoy, impréssionée par le spectacle sa'approcha de l'adolescant pour la serrer très fort par derrière
-Tu n'as rien Florita ? S'inquieta-telle.
-Jamais autant que cette homme répugnant sans pitié ni cœur s'il s'en reprend à moi ! Cria-t-elle avec grande foi et puissance en regardant l'homme.
Akoy se demandait pourquoi la jeune fille n'avait pas montrée son sentiment de terreur devant elle à Aldar, alors qu'elle l'avait montré ici devant la cause de l'effet. L'homme, souffrant et à genoux cria :
-Je me vengerais pour cet affront jeune inconnue !
Puis s'en alla avec furtivité en glissant à l'oreille de Akoy
-Jétait seulement venu pour t'éclairer sur notre rencontre d'il y a sept ans.
A ce moment là, La jeune femme eut le déclic. Elle s'était rendu compte que cette là avec neuf doights n'était autre homme que celui qui s'était montré devant elle à Olimphos pour la guider à sa profession. Elle se rapella également qu'il avait qu'elle serait éclairée sur tout à l'age adulte. Florita respirait très fort et trépignait de chaleur. Akoy la regarda en lui disant :
-Calme-toi ma douce, il y a un point d'eau là-bas, vas t-y nettoyer.
Elle y alla sans un seul mot ni un merci. Elle était tromatisée par la violence qu'elle venait de produire elle-même.

J'aime bien ce que tu fais, et tu diversifies ton style d'écriture, à ce que je vois

Par contre connaissance avec deux n

Et puis-je savoir si ces écrits son l'histoire que tu conte d'hélias ? Ou est-ce un roman que tu débute en prenant base sur Hélias ? Dans le premier cas premier, je te demanderai de réouvrir un topic dans la catégorie Voyageur isolé, puis dans le continent où se situe ton aventure (donc Aldar en l'occurrence), et de cette manière-ci : [Case où se situe ton aventure (voir le démarquage de la carte dans Encyclopédie géographique => Cartes, sinon dans le backgroud)]Nom de ton personnage.
Par exemple [J5]Faras Enderiel.

Merci beaucoup Nerih et oui c'est un roman que je débute en prenant base sur helias.

Je crois plutôt que c'est le premier cas Fais comme je t'ai dit de faire et préviens moi quand c'est bon